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Un conseil municipal exceptionnel s’est tenu le 16 septembre pour l'ouverture des marchés à l'extension de l'école Marcel Greff. Il nous semble important de vous faire un compte rendu des échanges qui ont eu lieu et ainsi expliquer nos positions. Tout d'abord, nous avons rappelé que nous avions fait, par deux fois, la demande de réunir une instance plénière en y intégrant les représentants des parents d'élèves pour travailler sur ce projet. Aucune réponse n’a jamais été accordée à nos demandes. Nous avons également rappelé notre attachement à la nécessité de faire des investissements sur Pont-Réan, que cela soit au niveau de l'école, mais aussi d'un espace jeune ou d'un ALSH digne de ce nom, considérant que Pont-Réan était le parent pauvre des investissements de la commune. Nous avons commencé par faire un rappel des faits : ➢ Demande des parents pour une rénovation thermique de l’école ➢ Une cour de récréation entièrement bitumée, sans ombre, sans arbres et ne disposant que de petits préaux ➢ Un Algeco dans la cour depuis 3 ans pour palier à l'augmentation des effectifs ➢ Un accueil périscolaire très exigu et mal agencé ➢ L’école compte aujourd’hui 40 enfants venant de Bruz et on ne peut pas connaître par avance la position de l’équipe qui sera mise en place lors des prochaines élections à Bruz, concernant ces 40 enfants. ➢ L’école se situe sur une zone cernée par les eaux en cas d’inondations, le restaurant scolaire ayant même été atteint par des remontées capillaires lors de la dernière grande inondation. Puis avons fait part de nos interrogations : ➢ Quels seront demain, les effets du dérèglement climatique, sur ces inondations ? ➢ Une étude du plan de déplacement des usagers a-t-elle été réalisée ? Et, si oui, qu’indique-t-elle ? ➢ Est-il raisonnable d’investir autant (1.8 million d’€) alors que les capacités d’investissement de la commune n’ont jamais été aussi faibles ? ➢ Est-il raisonnable de privilégier une extension sur une zone exposée aux inondations, alors que nous courons le risque d’une explosion des coûts d’assurance ou de franchise, nous occasionnant de gros risques financiers ? ➢ Est-il raisonnable d’avoir une partie neuve parfaitement isolée et la partie existante sans aucune amélioration thermique ? ➢ Est-il raisonnable d’investir sur un projet apportant 3 nouvelles classes, alors que nous savons que la natalité est en baisse ? Que pour l’instant, les nouvelles inscriptions se concentrent sur le cours élémentaire, soit 3 à 4 ans de présence maximum dans l’école pour les nouveaux inscrits ! Qu’une école se pense pour 20 à 30 ans et non sur une situation à court terme ! ➢ Pourquoi ne pas profiter de ce projet pour rendre la cour de récréation mieux adaptée ? ➢ Quelles seront les conditions d’occupation des classes et d’utilisation de la cour de récréation pour les élèves, durant les travaux qui dureront 18 mois au minimum ? A toutes ces questions qui nous semblent essentielles, nous n’avons reçu aucune réponse du groupe majoritaire. Nous le regrettons. Nous regrettons qu’aucun véritable temps de réflexion collective (élus majoritaires et minoritaires, représentants des parents d'élèves et autres acteurs) n’ait été réalisé pour un projet aussi structurant pour la commune de Guichen Pont-Réan. Nous regrettons qu’aucun travaux ne soit prévu sur la partie existante, alors que cela aurait apporté plus de confort aux élèves qui seront dans les classes situées au rez de chaussée. Nous regrettons que le remplacement de menuiseries montrant une certaine vétusté sur la partie existante, ne soit pas prévu. Nous regrettons que la demande première des parents d’élèves, qui était celle d’une rénovation thermique de l’existant, n’obtienne pas de réponse favorable. Nous regrettons que le projet proposé par l’équipe majoritaire fasse courir des risques assurantiels et donc financiers, qui reposeront sur les contribuables si nous connaissons de nouvelles inondations. Or, le dérèglement climatique, nous laisse peu d’espoir sur la chose. Les débats qui ont suivi n’ont fait que démontrer que nous, élus du groupe minoritaire, n’avons jamais été véritablement associés au travail de réflexion sur ce projet si important, que cela soit en commission ou au comité de pilotage dans lequel aucun de nos élus n’a été invité à siéger. C’est pour cette raison que 5 de nos 6 élus présents ont décidé de ne pas prendre part au vote. De son côté, la majorité l’a voté à l’unanimité !!! Les séances du Conseil Municipal étant publiques et filmées, vous pouvez, si vous le souhaitez, retrouver l’intégralité de cette séance sur le site internet de la mairie.

Comment expliquer les décisions de décalage d'investissements à 2024, 2025 et 2026 ?
Comment expliquer les augmentations d‘impôts (+2%) en 2023 et les augmentations de tarifs des services publics (exemple: augmentation de 6% du prix de la restauration scolaire) ?
Et ce alors même que l’état a décidé de revaloriser les bases fiscales des impôts locaux de 7% pour atténuer les conséquences des hausses du prix de l’énergie.
Cela représente 379 686 € de recettes en plus pour la commune.
Conseil municipal Guichen : mardi 6 décembre Quoi de neuf ? Proposition de notre groupe : La commune a conclu un bail avec la SAFER pour la location d’ 1 hectare 600 de terres agricoles appartenant à la commune. Nous avons expliqué qu’il aurait été possible d’inclure des clauses environnementales pour favoriser un changement de pratiques agricoles. Nous avons donné l’exemple du label « Terres de source » qui impose aux Agriculteurs qui veulent bénéficier de ce label des règles strictes. Notamment l’interdiction des herbicides du maïs et du colza qu’on retrouvent sous forme dégradée dans de nombreux cours d’eaux… Nous avons donc fait remarquer que c’était une question de volonté et nous avons demandé à ce que cela soit fait à Guichen en expliquant que c’était possible ! Grand moment de rigolade quand le Maire a rappelé que la commune était adhérente de Terres de sources … Ben alors ?… Pourquoi ne pas appliquer les mêmes règles dans nos baux Ruraux municipaux ??? Greenwashing !!! Encore ! Très fort ! Qui y croit encore ???

Très grand moment ce soir au conseil municipal de Guichen quand l'adjointe à la petite enfance s’exclame : « il n’y a pas que la transition écologique qui compte! » Cette même commune qui a signé un pacte de la transition pour ne rien en faire ! Greenwashing ! Je suis abasourdie! Cependant, ces élus ne prennent pas le temps de venir aux conférences débats sur le sujet. Car s’ils venaient, ils comprendraient que tout devient un enjeu de transition. Pourtant, des dizaines d’hectares de forêts ont brûlé en Ille et vilaine cet été… 200 hectares de végétation partis en fumées! Un avant goût du dérèglement climatique amorcé ! Elles sont où les priorités des élus si ce n’est d’agir pour l’avenir des générations futures ? D’autant plus, quand on est adjointe à la petite enfance ! On est dans l’impasse avec des décideurs de ce niveau d’ignorance ! Lors de la conférence organisée par le pays des vallons de Vilaine sur le sujet, le bénévole animateur du Shift Project a expliqué : "La transition doit être amorcée dès aujourd’hui et Il ne faut pas attendre les prochaines élections municipales !" À Guichen, il faudra attendre 2026 pour passer à l’action. En attendant, écoutez le souffle du vent du greenwashing! Il souffle fort dans les pages du Reflet, le bulletin municipal local !

Michèle Motel, cheffe de file du groupe Guichen Pont Réan positif a été réélue Vice Présidente à la communauté de communes ce jeudi 8 septembre. Élue depuis 2014 au sein de cette collectivité, son travail, sa persévérance et son engagement à faire avancer les sujets sont reconnus par les autres élus. D’abord en charge de l’enfance jeunesse et des centre de sociaux depuis 2014 , elle est depuis 2020 en charge des marchés publics de la gestion des milieux aquatiques et des « espaces France service ». Des dossiers qui demandent expertise et pédagogie. Elle est depuis ce jeudi 8 septembre devenue 3ème vice Présidente de VHBC. Et ce malgré les tentatives des élus de la majorité de Guichen de l’évincer une fois de plus. Les élus de VHBC ont préféré voté pour elle au lieu de Philippe Salaun, adjoint de Guichen. Laurence Bienne, adjointe à Guichen s’est présentée 3 fois et n’a pas été élue! Michèle Motel a conclu sa présentation avant l‘élection par ses mots : « Oui, je suis une femme ! Mais je vous demande de ne pas voter pour moi parce que je suis une femme. Je vous demande de voter pour la compétence! » Résultat sans appel ! 32 voix pour Michèle Motel contre 18 voix pour Philippe Salaun, adjoint à l’urbanisme de Guichen… Ci-dessous extrait ouest France du 10 septembre !

𝗟𝗔 𝗖𝗢𝗡𝗖𝗘𝗥𝗧𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗧𝗔𝗡𝗧 𝗣𝗥𝗢𝗠𝗜𝗦𝗘 𝗡'𝗔𝗨𝗥𝗔 𝗣𝗔𝗦 𝗟𝗜𝗘𝗨 !!! Nous étions tous d'accord pour l'acquisition de cette placette par la commune. Notre groupe Guichen Pont-Réan Positif, voulait que les habitants, commerçants et usagers puissent s'exprimer sur son devenir. En effet, pendant la campagne municipale, beaucoup de demandes allaient dans le même sens : création d'espaces de convivialité, espaces verts et stationnement en centre-bourg. L'équipe majoritaire a fait le choix malheureux de signer une convention avec l'EPF (Etablissement Public Foncier) qui nous offre comme seule possibilité, la construction d'un nouvel immeuble avec des cellules commerciales en rez de chaussée. La concertation avec les habitants et les commerçants se limitera donc au choix de la couleur du ravalement !!! Cela confirme les propos tenus par M. Dubois, membre du groupe majoritaire, lors du dernier conseil municipal : " 𝑳𝒂 𝒄𝒐𝒏𝒄𝒆𝒓𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒄𝒆 𝒏'𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒍𝒂𝒊𝒔𝒔𝒆𝒓 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒂𝒈𝒆 𝒃𝒍𝒂𝒏𝒄𝒉𝒆 𝒂𝒖𝒙 𝒉𝒂𝒃𝒊𝒕𝒂𝒏𝒕𝒔. 𝑪'𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒇𝒊𝒙𝒆𝒓 𝒖𝒏 𝒄𝒂𝒅𝒓𝒆 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒍𝒊𝒎𝒊𝒕𝒆𝒔 ! " Pour nous, il était prioritaire d'ouvrir 𝗩𝗥𝗔𝗜𝗠𝗘𝗡𝗧 le dialogue avec les habitants, commerçants et usagers, pour définir 𝗘𝗡𝗦𝗘𝗠𝗕𝗟𝗘 le devenir de cette placette. 21 élus du groupe majoritaire ont décidé seuls, d'y faire de l'habitat et du commerce, sans aucune concertation ! 𝗗𝗘𝗦 𝗔𝗖𝗧𝗘𝗦 𝗧𝗥𝗘̀𝗦 𝗘́𝗟𝗢𝗜𝗚𝗡𝗘́𝗦 𝗗𝗘𝗦 𝗣𝗔𝗥𝗢𝗟𝗘𝗦 !!!

Le 7 décembre dernier, nous vous avions la joie de vous annoncer qu'une idée forte de notre programme, à savoir "1 naissance, 1 arbre", avait été présentée par notre élue Sylvie Lelay en commission Transition écologique et Cadre de vie et que cette même commission avait décidé de s'emparer du sujet.